1986-1991 La présidence BOURGEOIS
Le Professeur BOURGEOIS succéda au Professeur SUQUET en 1986. Un nouveau bureau se mit au travail et consolida les actions des premières années.
Ce fut en particulier :
– La bataille pour la reconnaissance des diplômes d’ultrasonologie.
– La demande d’une lettre clé spécifique pour l’échographie, dès 1988.
– Création d’une rubrique « échographies » dans les pages jaunes de l’annuaire des PTT pour l’édition de 1990 (opérationnelle grâce à Patrick GALLO).
– Enquête interne sur les revenus, l’investissement des échographistes.
– Participation du SNUDE à la refonte de la nomenclature, et contact avec divers organismes de la Sécurité Sociale, le Ministère de la Santé.
– Contacts avec les autres syndicats (CSMF), Fédération Nationale des Electro-Radiologistes Qualifiés( Dr MOINARD), Collège des Gynéco-Obstétriciens (Pr DELECOUR ), avec le CREDES.
– Action pour une reconnaissance d’une compétence en échographie auprès du Conseil National de l’Ordre des Médecins.
– La défense de la cotation K35 de l’échographie obstétricale, menacée de réduction à k30.
– L’établissement de guide-lines pour les échographies obstétricales (Mars 1990).
– La saisine de la commission d’accès aux documents administratifs, véritables oukases internes à la Sécurité Sociale (abrogation de la circulaire réservant la cotation K35 aux grosses pathologies).
– Nomination d’un échographiste généraliste au CA de la SFAUMB (H.LE GUERN).
– Abolition de la classification de certains échographes en matériel « lourd ».
– Affiliation à la CSMF et U.ME.SPE, en section indépendante (allergologues, angiologues, etc…), et voix consultative au CA en tant qu’auditeur libre.
– Obtention du KE 40 pour le doppler pulsé fœtal (Lettre circulaire interne à la CNAMTS- Cours de Cassation).
Le Professeur BOURGEOIS laisse un syndicat fort de près de 300 adhérents, reconnu auprès des instances officielles, et une longue série d’actions de défense des échographistes, de nombreux rapports sur tous les sujets de l’avenir des ultrasons en France.